Et à l’année prochaine ! 5 raisons de ne pas prendre de résolutions.

Bienvenue 2019 !!!

Qu’elle soit douce avec vous comme une nuit sans réveils d’enfants, pétillante comme un mojito bien frais et jolie comme vous la rêvez !

Je vous souhaite une année pleine de joies, de belles découvertes, de rires, de force, de folies douces, d’envies, de grands rêves comme de petits.

Je vous souhaite d’être vous, simplement.

Merci de m’avoir suivie et lue l’an passé, que notre histoire dure encore longtemps 😉

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A l’heure où fleurissent sur les réseaux  sociaux et les blogs les articles de voeux pour l’année à venir, j’ai décidé, tel un contrepoint baroque, de vous livrer les 5 bonnes raisons de ne pas prendre de bonnes résolutions !

1.Parce que c’est cliché 

Bah ouais… Scoop (ou non), rien ne change vraiment entre le 31 Décembre 23h59 et le 1er Janvier 00h01. C’est un peu comme attendre impatiemment ses 18 ans et puis tomber de haut en réalisant que, tout compte fait,cette attente était peut-être un peu surcôtée. Pourquoi faudrait-il absolument prendre des résolutions sitôt la nouvelle année sonnée ? Parce que cela se fait, parce que c’est la tradition. Se donner à croire que l’année à venir sera bonne, sera meilleure, qu’une page toute neuve, toute blanche est à écrire. Alors cette année, je dis non au diktat ! (et qu’en vrai, ça m’arrange de n’avoir de compte à rendre à personne si ce n’est moi)

2. Parce qu’on ne les tient pas

Le plus dur, ce n’est pas de prendre des résolutions mais bien de les tenir ! Allez, soyons honnêtes, combien de:

• Je me remets au sport
• j’arrête de fumer
• je passe moins de temps sur mon portable
• je perds du poids
•  j’arrête de me plaindre
• j’économise
• je me couche plus tôt (ne rayez pas la mention inutile)

Combien de résolutions tenues 2 mois plus tard ? Voilà, on est d’accord. (Et puis cette manie de devoir prendre de « bonnes » résolutions… serait-ce une mauvaise résolution de bannir le sport et se faire un spa-mojito une fois par semaine ?)

En revanche, une bucket list, ça me plairait bien ! Promis, cette année j’en fais une 😉

3. Parce que c’est contraignant

Dans notre course folle à jongler entre obligations professionnelles et personnelles, le minimum serait bien de se laisser le temps. Le temps d’avoir tort, le temps de se tromper, le temps d’y croire et de rêver sans s’octroyer de nouvelles responsabilités, de nouvelles résolutions à tenir résolument. Se fixer des objectifs est bénéfique, stimulant même mais ne pas tenir les fameuses résolutions prises peut avoir l’effet inverse, autant l’éviter 😉 Pas besoin de s’infliger une pression supplémentaire !

4. Parce que la Vie fait ce qu’elle veut

Et que résolutions ou non, ce qui doit arriver arrive ! On tente de se réinventer à chaque nouvelle année, persuadés que cette fois ce sera différent, que cette fois on tiendra toutes nos promesses. On se fixe des buts que l’on n’a pas réussi à atteindre précédemment, non pas par manque de volonté mais parce qu’on s’adapte, qu’on passe des arrangements avec nous-mêmes et que pour des raisons qui nous échappent, certaines choses ne sont pas destinées à se produire au moment où on les envisage.

5. Parce qu’on n’en a pas vraiment besoin

Et qu’on est très bien comme on est ! De toute façon, tels de grands crus, nous nous bonifierons avec le temps. Au diable les résolutions et qu’on m’apporte un mojito ! On serait peut-être mieux si on arrivait à se tenir aux règles fixées, mais serait-on plus heureux pour autant ? Parce qu’après tout, même si on ne les tient pas, c’est quand même chouette de se dire qu’on a le pouvoir de changer les choses et que « cette fois, promis, je tiens mes engagements ! », que tout est à espérer et à rêver. Les mots clés sont peut-être là que les résolutions soient prises, tenues ou non, l’espoir et le rêve sont ce qui nous font avancer au quotidien, et ça hors de question de s’en passer en 2019 !

En bonus, deux citations qui s’adaptent bien à l’article:

« Les promesses n’engagent que ceux qui y croient »

« Les résolutions, c’est comme les migraines, on les oublie quand la douleur part »